Le Parisien révélait, lundi 27 février, qu’une main courante avait été déposée contre Achraf Hakimi, pour « viol ». Que le parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine) s’était saisi de l’affaire. Depuis, le joueur et son employeur, le PSG, font corps autour de l’accusé.
Fanny Colin, l’avocate du joueur, a livré une première réaction au quotidien régional : « Les accusations sont fausses. Achraf Hakimi est serein et se tient à la disposition de la justice », a indiqué Me Colin.
Quant au Paris Saint-Germain, point de réaction officielle, mais le club fait savoir en off dans les mêmes colonnes qu’il est « au soutien du joueur qui a fermement démenti les accusations et fait confiance à la justice. »
« Le PSG est une institution qui promeut le respect sur le terrain et en dehors », ajoute cette même source.
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Pour rappel, Achraf Hakimi serait entré en contact mi-janvier avec une jeune femme via le réseau social Instagram. Cette dernière aurait accepté samedi de rejoindre chez lui l’international marocain, à bord d’un VTC commandé par ce dernier.
Le demi-finaliste du Mondial se serait alors laissé aller à des baisers non consentis par son invitée, qui l’accuse également d’avoir tenté de la déshabiller, de lui embrasser les seins et de se livrer à une pénétration digitale.
La jeune femme aurait réussi à se dégager en repoussant son agresseur d’un coup de pied. Dispensé du déplacement à Marseille en raison de douleurs à la cuisse, le joueur de 24 ans était seul ce week-end, sans sa famille, en vacances à Dubaï.
