Le parquet de Nanterre a ouvert, lundi 27 février, une enquête pour viol visant Achraf Hakimi. A, ainsi indiqué une source proche du dossier à l’AFP, confirmant une information du Parisien. L’enquête a été confiée à la Sûreté territoriale, après des accusations d’une femme de 23 ans. Cette dernière a déclaré avoir été violée au domicile du joueur fin février.
Habitante de Fontenay-sous-Bois, dans le 94, la victime présumée aurait commencé à parler avec le latéral droit du Paris SG sur Instagram le 16 janvier dernier, avant d’être invitée par le Marocain à son domicile, à Boulogne-Billancourt, dans la nuit du samedi 25 février.
D’après les propos de la jeune femme, à en croire Le Parisien. Hakimi l’aurait alors embrassée sur la bouche, tout en lui soulevant les vêtements et en embrassant sa poitrine, tandis que la principale concernée repoussait ses approches.
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Le quotidien évoque une “pénétration digitale” dans cette affaire, c’est-à-dire d’un ou plusieurs doigts de l’agresseur présumé dans les parties génitales de la victime présumée. La jeune femme aurait ensuite repoussé l’ancien joueur du Real Madrid avec son pied avant d’avertir une amie par SMS, qui est venue la chercher.
Le parquet de Créteil s’est autosaisi de cette affaire avant de la transmettre au parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine).
Fils d’une femme de ménage et d’un vendeur ambulant, tous deux Marocains et installés en Espagne depuis les années 1980, Achraf Hakimi, est né à Getafe, dans la banlieue sud de Madrid, dans le quartier de Las Margaritas.
Parfait hispanophone, marié à une actrice espagnole (Hiba Abouk), le défenseur marocain du PSG a commencé le football à Ofigevi, puis a vite rejoint le centre de formation du Real Madrid, là où il a fait toutes ses classes. Ensuite, il a brillé à Dortmund, à l’Inter Milan, avant de rejoindre le PSG.
