Adamou Amahadu, un Camerounais spécialiste de la biométrie dont l’Afrique a besoin

Adamou Amahadu, un Camerounais spécialiste de la biométrie dont l’Afrique a besoin

Afrique Tech

Adamou Amahadu fait partie de ces esprits brillants qui honorent l’Afrique dans la diaspora. Expert en biométrie, ce Camerounais a un parcours assez atypique malgré qu’il soit issu d’une famille modeste. Il a créé Bridge Corporation, une entreprise évoluant dans la biométrie intelligente. La société s’occupe depuis plus de 15 ans, de systèmes biométriques et d’identité électronique innovants, de documents électroniques, de conception de matériel et de logiciels, de sécurité des systèmes et de mise à niveau des systèmes.

Qui est réellement Adamou Amahadu?

Adamou Amahadu est expert des questions de sécurité nationale et des frontières des pays par les technologies et systèmes biométriques intelligents. Il est diplômé en marketing, langue et littérature allemandes et même en évaluation des menaces, renseignement et collecte du renseignement. M. Amahadu est aussi ingénieur en électromagnétique.

Avec une riche expérience professionnelle dans des ambassades et autres organisations, M. Amahadu s’est forgé une réputation dans le consulting et conseil-stratégique en termes de développement des pays ; la médiation et la gestion des conflits.

Il a aussi été distingué plusieurs fois. On peut citer entre autres, le prix du meilleur PDG Africain en Allemagne, meilleur PDG africain sur la place de Berlin et le prix spécial du gouvernement de la République de Guinée Bissau.

Adamou Amahadu, un Camerounais spécialiste de la biométrie

Un homme de réseau

Avec plus de 15 ans d’expérience, Adamou Amahadu a pu créer un réseau solide. Il dispose de relations d’affaires avec des investisseurs en Russie. Il ferait affaire selon nos sources avec des proches du président Vladimir Poutine. L’homme de réseau a des contacts avec des banques en Allemagne et en Suisse notamment.

Il a pu, grâce à ses exploits, créer un réseau d’hommes d’affaires milliardaires dans des pays comme les Emirats arabes unis, l’Arabie saoudite, la Suisse, Oman, Koweït, le Kenya, le Soudan du sud, le Rwanda, la Tanzanie, l’Uzbekistan, l’Azerbaijan, les États-Unis, le Canada, le Brésil et le Venezuela, notamment. Ces investisseurs peuvent facilement se tourner vers l’Afrique. Les gouvernants africains sont-ils prêts à oser faire confiance à leurs propres frères ?

Entretien avec des hommes et femme d’affaires

Déjà, 4 pays européens lui ont fait confiance pour la fabrication de passeport. 5 pays européens ont acquis des solutions numériques de gestion de frontières et d’autres pour les passeports biométriques. Pour un jeune africain, c’est intéressant de s’imposer dans un secteur aussi crucial pour les pays. Des travaux ont été effectués auprès d’un peu plus de 15 Gouvernements africains.

« 3 pays africains ont confié leurs systèmes de e-visa à l’entreprise Bridge Corporation. Nous avons travaillé avec lui durant 3 ans. En tout, nous avons plus de 52 pays parmi lesquels 20 en Afrique et au moins 7 en Europe » nous confirment des sources proches de ses anciens collaborateurs comme M. Owona Ngo, Madame Cole et M. Müller et Gilbert Mallah.

Rencontre avec des investisseurs

Selon des analystes, cet Africain est parmi le top 3 des milliardaires africains en Europe et est seul actionnaire de son entreprise. Des acteurs de développement de ce genre mérite une place de choix sur la scène politique. Que ce soit dans des ministères ou à un poste électif, ils devraient faire bénéficier de leurs expériences à leurs pays respectifs.

Certains gouvernants africains préfèrent travailler avec des entreprises étrangères

Pour une entreprise d’un Africain ayant des marchés en Europe et dans le monde de façon générale, on aurait dit que son continent reconnait sa valeur. Mais la réalité est tout autre. A une époque où tout le monde dit vouloir bâtir un continent africain prospère, beaucoup de marchés sont confiés aux étrangers. Et pourtant, les gouvernements parlent de consommation locale. Cette dernière peut-elle être une réalité si l’on ne fait pas appel à l’expertise locale ? La réponse est non.

Or, il est connu de tous que la diaspora africaine apporte une aide de taille au continent. Donner aux Africains la chance de prouver leur génie ne serait-il pas la meilleure des choses pour accélérer le développement du continent ?

Des génies comme Adamou Amahadu, il y en a beaucoup dans la diaspora. Et si les gouvernements africains se tournaient vers eux pour développer le continent ?

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