Une IA a réimaginé à quoi aurait pu ressembler le fils de Dieu en se basant sur le Suaire de Turin. Nos confrères de MailOnline ont demandé à l’outil d’IA Merlin : « Pouvez-vous générer une image réaliste de Jésus-Christ à partir du visage du Suaire de Turin ? »
Le résultat généré par l’IA suggère que le Christ était blanc avec de grands yeux bleus, une barbe soignée et des marques d’épines sur son visage. L’image présentée ne sort pas du hasard mais se base sur le Suaire de Turin, ce tissu en lin de 4,42 mètres de long sur 1,13 mètre de large avec une faible image d’un homme crucifié.
On pense que l’image sur le linceul reflète l’histoire de la crucifixion de Jésus, ce qui donne lieu à la croyance que le tissu est le linceul funéraire de Jésus lui-même.
L’authenticité du linceul a été fréquemment remise en cause au fil des ans, mais de nombreuses études prétendent également valider son origine.
Il est considéré comme l’un des artefacts humains les plus intensément étudiés de l’histoire.
Depuis sa première apparition en 1354, les autorités du Vatican ont à plusieurs reprises débattu de la question de savoir s’il fallait le considérer comme le véritable linceul funéraire.
Le linceul est actuellement conservé dans la cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Turin, mais il n’est exposé au public que lors d’occasions spéciales.
Pour certains historiens, le Suaire de Turin, conservé dans une chapelle au centre de la ville italienne, est l’une des reliques les plus sacrées du christianisme.
Lors de sa première exposition dans les années 1350, le Suaire de Turin était présenté comme le véritable linceul funéraire utilisé pour envelopper le corps mutilé du Christ après sa crucifixion.
Également connu sous le nom de Saint Suaire, il porte une faible image de l’avant et de l’arrière d’un homme barbu, qui, pour de nombreux croyants, est le corps de Jésus miraculeusement imprimé sur le tissu.
Des recherches menées dans les années 1980 semblent avoir réfuté l’idée selon laquelle ce phénomène était réel, après l’avoir daté du Moyen-Âge, des centaines d’années après la mort du Christ.
Mais des universitaires italiens utilisant une nouvelle technique impliquant des rayons X pour dater le matériau ont confirmé qu’il avait été fabriqué à l’époque de Jésus, il y a environ 2 000 ans.
Ces découvertes étonnantes donnent du crédit à l’idée que la trace pâle et tachée de sang d’un homme aux bras croisés devant lui a été laissée par le corps mort de Jésus. Le tissu semble montrer des images pâles et brunâtres sur le devant et le dos, représentant un homme émacié aux yeux enfoncés qui mesurait environ 1,70 à 1,80 m.
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